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Drek Carter - tome 1 "Cupidon Mortel" de Thomas Andrew

Editions J’ai Lu

« J’ai eu beau tourner plusieurs fois la question dans tous les sens, je ne vois pas comment vous l’annoncer donc je ne vais pas y aller par quatre chemins : je suis un fantôme. Oui, c’est cela, un Casper qui hante les rues de New York. Comment en suis-je arrivé là ? Eh bien, si une sombre histoire de meurtres, de sorciers, de vampires et de loups-garous ne vous effraie pas, laissez-moi vous raconter. Tout commence le 14 février. Ironique, non ? Le jour de ma mort. Sérieusement… Qui parle de repos éternel ? Certainement pas moi ! »

 

 

 

 

Avis d’Arcantane :

Une toute nouvelle série de fantaisie urbaine débarque chez J’ai Lu en février. Cupidon Mortel est le 1er tome de la série mettant en scène un héros pas comme les autres : Drek Carter.

Ce jeune homme n’a pas réellement de chance, il devient un fantôme après avoir été tué lors de la Saint-Valentin et le voilà errant comme une âme perdue jusqu’au jour où il rencontre une personne pouvant le voir et qui n’est pas si inconnue pour Drek.

Que dire sur ce 1er tome ?

Ce qui m’a plu tout de suite est que, pour une fois, nous avons une histoire avec comme personnage principal, un fantôme, ce qui change des autres personnages, vampires, loups-garous, sorcier et j’en passe qu’on a l’habitude de lire dans ce domaine.

L’auteur nous raconte avec beaucoup d’humour l’histoire de son héros : Drek Carter, une jeune homme un peu quelconque et comment il devient un fantôme qui hante les rues de New York. Il est intéressant de découvrir que se cache un monde parallèle peuplé de loups-garous, vampires et sorciers. Drek va s’en apercevoir avec sa condition de poltergiest et va devoir enquêter sur le fameux serial killer qui arrache le coeur de ses victimes tout en essayant de trouver une bague très recherchée dans le monde des surnaturels.

Je l’avoue, au premier abord, les nombreuses références geeks m’avaient plu, certaines m’ont fait rire. Malheureusement, l’auteur en abuse de trop que cela en devient excessif et prend le pas sur l’intrigue. Ce que je trouve dommage. Autant bien dosé, cela peut apporter un petit plus niveau humour à l’histoire. Dans Cupidon Mortel, j’avais l’impression de voir ses fameuses références aux séries et aux livres à chaque page, ce qui m’a à force fatiguée et ne m’a pas fait accrocher aux personnages ni plonger dans l’enquête comme j’aurais dû.

Pour ma part, ce premier tome ne m’a pas convaincue. A force d’en vouloir faire trop, on passe totalement à côté de l’histoire et de ses personnages. Ce qui est bien fâcheux car l’histoire a du potentiel.

Plus d'infos sur le site de J'ai Lu : Lien

 

 

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