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Interview exclusive ABFA - Août 2011

Comme vous le savez certainement, en 2010, lors de sa venue pour le Salon du livre, nous avions eu la chance d'interviewer notre auteur fétiche. On aurait bien voulu tout savoir sur sa vie, son oeuvre et plus si affinité, mais faute de temps, on était reparties avec pas mal de questions sous le bras. C'est de nouveau grâce à l'intervention de Bragelonne (Leslie, Cesba, si vous nous lisez : MERCI !) que nous avons pu faire parvenir à Laurell quelques questions supplémentaires et nous avons même eu des réponses :)

Interview Laurell K. Hamilton / ABFA : take two !

- Quelles étaient vos attentes avant la rencontre avec vos fans français ?
J'avais plus d'attentes vis à vis de Paris que des fans français. J'avais entendu tellement de choses merveilleuses et romantiques sur Paris que je ne pensais pas qu'une ville pouvait être à la hauteur. Mon mari Jonathon et moi étions préparés à être déçus mais ça n'a pas été le cas. Paris est à la hauteur de sa réputation. C'était aussi romantique, beau, et charmant qu'on nous l'avait dit. J'ai compris pourquoi les divers artistes sont venus chercher l'inspiration là depuis des siècles. J'ai trouvé les fans français aussi charmants que la ville. Ils étaient chaleureux, amicaux, et nous ont donné la sensation d'être vraiment les bienvenus. Je suis revenue de Paris avec des anecdotes sur combien tout le monde avait été gentil et poli. Ils m'ont même pardonné ma terrible prononciation de leur très belle langue. Apparemment, je peux apprendre à parler français mais je ne le prononcerai jamais correctement, mais tout le monde a apprécié mes efforts.

- Allons-nous ré-entendre parler d'une formation d'un conseil vampirique américain ?
Oui, ça sera le cas. En fait, j'ai justement fini une scène dans le prochain Anita que je suis en train d'écrire où on parle du Conseil vampirique américain.

- Que dirait la Anita d'aujourd'hui à celle des débuts et comment imaginez-vous Anita dans 10 ans ?
Que tu seras heureuse un jour, mais pas de la façon à laquelle tu t'attends. Que ta vie est sur le point de devenir plus étrange et plus merveilleuse que tu ne peux l'imaginer. (Je suppose que c'est proche de ce que je dirais à la jeune moi-même.) *Rires*

- Pourquoi avoir choisit la ville de Los Angeles pour la série "Merry Gentry" ?
L.A. est la seule autre ville où j'ai vécu pas mal de temps, donc c'était tout naturel de placer les livres à un endroit qui m'était familier, tout comme j'ai choisi St Louis pour Anita.

- Y avait-il un homme de Merry qui était supposé mourir mais que vous n'avez pas pu le faire au final ?
Je n'avais pas prévu de faire mourir qui que ce soit, mais j'ai pensé que nous avions perdu Frost à jamais et Galen me faisait faire du souci. Donc prévu la mort de quelqu'un : non. Craint que certains des hommes meurent : oui.

- Quel est le plus facile à gérer pour vous : le harem de Merry ou celui d'Anita ?
Celui de Merry. Je trouve que les hommes d'Anita se battent trop pour son attention et ils sont plus nombreux.

- Avez-vous déjà choisi des noms pour les bébés Merry ?
Oui.

- Avec le grand succès d'Anita Blake en comic, voulez-vous continuer après le cirque des damnés ?

Oui, on le prévoit.

- Voulez-vous voir la série Merry Gentry publié en comic aussi ?
Oui, mais il y a beaucoup de contenu adulte dès le début et je ne sais pas comment gérer le sexe. Ce qui est poétique et beau en prose pourrait devenir pornographique si c'est dessiné tel quel. Je voudrais que le sexe soit aussi élégant et sensuel que ça ne l'est en mots et il faudrait un artiste bien particulier et un coloriste pour capturer ça à mon avis.

Interview réalisé en août 2011 pour ABFA.

Super cet interview ! On

Super cet interview !

On pensait la série Anita un peu épuisée mais finallement il va y avoir du renouveau ?!

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