epicmickey.jpgQuatrième de couverture :

Oswald était dans plein de vieux films. Ça a été le premier d’entre nous à devenir une star… Et le premier à être oublié.

Présentation de l’histoire :

Mickey va se retrouver attiré involontairement dans l’atelier du magicien Yen Sid (celui de Fantasia pour les connaisseurs), qui est en train de travailler sur une maquette qui ressemble à Disney Land. Mickey qui est assez curieux, va essayer d’utiliser le pinceau magique et accidentellement, va renverser une bouteille de dissolvant sur la maquette. Laissant cette catastrophe derrière lui, il va partir d’où il venait en traversant le miroir. Le temps passe et Mickey va oublier l’accident tout en continuant sa vie de héros de dessin animé.

Des années plus tard, Mickey va se faire enlever par un fantôme « peinture » et notre petite souris va se retrouver dans l’univers de la maquette. Un monde de désolation où sont réunis tous les personnages de Disney oublié par le public donc Oswald le Lapin Chanceux, qui ne porte pas Mickey dans son cœur. C’est là qu’il va découvrir les répercussions qu’a eues la bouteille de dissolvant sur le monde et comment il va devoir réparer ses erreurs.


Mon avis :

J’avais été attirée par le graphique que je trouve magnifique et les critiques du jeu très positives, qui parlait d’un scénario très riche et bien trouvé. Ce qui m’a fait sauter sur cette bd et l’acheter.

Malheureusement, j’ai été très déçue malgré une belle histoire avec des personnages qu’on connaît et qu’on adore et d’autres qu’on ne connaissait pas mais qui nous accrochent. Epic Mickey est définitivement quelque chose qui doit rester un jeu et rien d’autre. L’histoire de la bd est simplifiée et raccourcie pour être casée dans les 68 pages que contient la bd. Il n’y a pas grand-chose à lire et l’agencement des cases est parfois très mal fait.

Donc je suis déçue de cette bd qui est somme toute très belle mais qui ne vaut pas beaucoup plus que cela. Encore une nouvelle victime de la mode que suivent les éditeurs avec les sorties de livres ou bd tirés de jeux vidéos, beaucoup d’appelés mais peu d’appréciés.