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Offrande Brûlée / Burnt Offerings

4ème de couverture: 

Un malheur n'arrive jamais seul. La preuve : En l'espace de vingt-quatre heures, je découvre que des envoyés du Conseil vampirique viennent de débarquer en ville, et que de mystérieux pyromanes ont mis tous les repaires de monstres locaux à feu et à sang. Sans oublier que j'hérite d'une famille de métamorphes orphelins de chef, et que mon ex qui a toujours une dent contre moi n'en finit plus de me mener la vie dure.

Parfois, j'ai vraiment envie de tous les envoyer bouler. Mais le pourrais-je encore ? Désormais, il semble que mon existence soit inextricablement liée à celle des créatures que je m'étais juré de combattre. Jusqu'où cela va-t-il m'entraîner ?

Franchement, je préfère ne pas y penser.

Répliques: 

 "Je suis une exécutrice officielle de vampires. Certains d'entre eux sont chahuteurs."


(Anita, parlant de ses cicatrices)


"Et le petit enfoiré me raccrocha au nez.
"


(Anita parlant de Larry)

"Maintenant que nous avons établi que nous sommes tous deux costauds et virils, voudriez-vous en venir aux faits?"


(Anita à Pete McKinnon)


"Nous progressions à la vitesse d'un escargot neurasthénique."

(Anita)


"Ma deuxième salle d'urgence en moins de deux heures. C'était un triste record, même pour moi. La bonne nouvelle c'était qu'aucune des blessures ne m'appartenait. La mauvaise nouvelle, c'est que ça pouvait encore changer."

"Personne ne prend du bide en forme de flingue."


(Anita à propos de son arme dissimulée sous sa robe)


"Je me sentais plutôt canon jusqu'à ce que j'aperçoive Jean-Claude."

"Je me sentais plutôt canon jusqu'à ce que je vous vois. Maintenant, j'ai l'impression d'être une des soeurs ingrates de Cendrillon."


(Anita à Jean-Claude)

"- Deux pauvres petits kilos. Que j'ai cherché diligemment sans jamais les localiser. Ca t'amène au monstrueux total de... quoi? Cinquante-cinq kilos?
- Exact.
- Une vraie baleine, gloussa affectueusement Jean-Claude.
Je le fixais, et pas d'un regard amical.
- On ne plaisante jamais avec le poids d'une femme, Jean-Claude. Du moins, pas avec le poids d'une américaine du XXIème siècle.
Il écarta les mains.
- Mes plus sincères excuses.
- Quand vous vous excusez, essayer de ne pas vous marrer en même temps, dis-je sévèrement. Ca gâche un peu l'effet."


(échange entre Anita et Jean-Claude Wink )


" - La petite entrecôte.
- Quelle cuisson? S'enquit le serveur.
- Moitié bien cuite, moitié saignante.
Il cligna des yeux.
- Je vous demande pardon?
- Vous la coupez en deux et vous laissez cuire une moitié plus longtemps que l'autre.
Il fronça les sourcils.
- Je ne crois pas que nous puissions faire ça.
- Vu les prix, vous devriez amener la vache vivante à notre table et pratiquer un sacrifice rituelle. Ne discutez pas."


(Anita et le serveur)

"Oh, je ne bois jamais... de vin."


(jean-Claude)

"Pour dessert, nous avions commandé un cheesecake framboise chocolat. Une triple menace envers n'importe quel régime."

"Défourailler à l'intérieur d'un resto huppé me semblait une mauvaise idée, mais bon, ça ne sera pas ma première."

"Laissez tomber votre petit numéro, Asher. Vous n'êtes pas le premier à me la servir. Si vous voulez jouer le grand méchant vampire, faites la queue."


(Anita à Asher)

"Je ne voudrais pas me montrer ingrate, mais d'habitude, je ne laisse pas un homme se désaper au premier rendez-vous."


(Anita à Asher)

"Ma parole, vous passez votre temps à quoi, tes petits copains et toi? A regarder des vieux films de Dracula et à piquer les dialogues?"


(Anita à Liv)

"Un peu plus tôt, j'avais envisagé de coller une balle dans la tête de Sylvie. Et maintenant, je chialais sur son sort. Vous parlez d'une sociopathe!"

 

(Anita)


"-Si jeune et déjà si sage...
- Si jeune et déjà si méfiante, vous voulez dire."


(Jean-Claude et Anita)

"[...] pour les extrémistes de droite, je suis la putain de Bbylone. Je me fais culbuter par la sangsue en chef."


(Anita à Dolph)

"On s'était mis d'accord sur le fait qu'on est pas d'accord."

 

(Anita)

"Ces deux là ne me voulaient pas de mal, mais si Zane continuait à sautiller dans tous les sens comme un Tigrou Punk, je risquerais de lui tirer accidentellement dessus."

 

(Anita)

"A sa vue, à son contact mental, je m'étais transformée en boule d'hormones palpitantes. C'était épouvantablement embarrassant."


(Anita à propos de Richard)

"A présent, j'étais gênée de tenir mon flingue, mais je ne voyais pas de manière gracieuse de m'en débarasser."

(Anita)

"S'il n'était pas paralysé par une conscience de la taille de Rhode Island, il pourrait être dangereux."


(Anita à propos de Richard)

"- Espèce de branleur arrogant.
Il sourit en découvrant ses dents - une grimace plutôt qu'une expression de bonne humeur.
- Chacun se soulage comme il peut."


(Anita et Richard)


"Tu voudrais peut-être qu'on se prenne une maison tous les trois : Jean-Claude dormirait à la cave, et moi dans une niche au fond du jardin?"


(Richard à Anita)

"Quand ce sera terminé, tu pourras recommencer à me détester. Tu pourras nous vomir dessus ta jalousie et ta haine de la bête en toi jusqu'à ce que nous nous étranglions avec."


(Anita à Richard)

"Non, je n'assume pas mon côté féminin."

(Anita)

"- Ce que tu peux être chienne.
- Ouaf, ouaf."


(Richard et Anita)


"- Et ça lui troue le cul.
- La formule est peu élégante, mais tout à fait exacte."


(Anita et Jean-Claude)

"Peut-être devrais-tu attendre que nous ayons survécu à cette soirée avant de tous nous suicider."


(Jean-Claude à Anita)

"-Vous ressemblez aux jumeaux Bobbsey, commentai-je.
Jean-Claude se racla la gorge. Je refermais la bouche, mais si tous les autres portaient des fringues aussi ridicules, j'allais avoir du mal à m'empêcher de les vanner. Franchement c'était trop facile."

(Anita)

"- Pourquoi les français savent-ils toujours exactement quoi dire dans les moments comme celui-là?
Jean-Claude s'agenouilla près de moi.
- C'est génétique ma petite."


(Anita et Jean-Claude)


"-Et où vous a-t-elle trouvés ? Chez un grossiste en étalons d'une beauté surnaturelle ?"


(Anita à Asher et Jean-Claude)

" - Ce que vous pouvez me bourrer le mou.
 Et tant d'autres endroits...

 

(Anita à Jean-Claude)

"Si ça avait été quelqu'un d'autre j'aurai dit qu'il était vautré sur mon canapé, mais Jean-Claude ne se vautre pas : il pose, il s'étale, mais il ne se vautre pas."

(Anita)

"Un cadavre ambulant peut-il détenir les clés de mon coeur? Non. Oui. Peut-être. Comment diable le saurais-je?"

(Anita)

 Merci à Envy et à Fée Noire pour les répliques.

Revue de Presse: