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Sur le blog de Laurell : Dead Ice - Jean-Claude

Traduction faite par Eldi sur l'article du blog de Laurell revenant sur le personnage de Jean-Claude dans le prochain tome Dead Ice.

 

Avec l’arrivée de la parution de Dead ice, je vais faire une série spéciale d’articles dans mon blog. Je vais répondre aux 3 questions les plus courantes à propos d’un personnage. Je vais essayer d’inclure quelque chose de peu connu pour chaque réponse. Ensuite vous aurez un petit aperçu de ce personnage dans Dead ice. Bien sûr, nous commençons cette série par Jean-Claude.


Question : Est-ce que Jean-Claude a été nommé d’après Jean-Claude Van Damme ?
Réponse : Non
Secret à partager : En fait, son nom de naissance n’est pas Jean-Claude. Dans l’ancienne Europe un seul vampire pouvait porter un prénom, s’il y avait déjà un vampire plus vieux avec le même nom, votre maitre pouvait vous forcer à changer de nom ou même en choisir un pour vous.

Question : Pourquoi Jean-Claude est français ?
Réponse : Parce qu’il a refusé d’être espagnol, selon le plan que j’avais prévu.
Secret : Il a été créé pour la première fois à la fin des années 80. Ce qui était proche de mes années étudiantes où je pouvais encore lire et comprendre l’espagnol s’il était parlé lentement. S’il vous plait n’essayez pas de me parler espagnol, cela fait trop longtemps que je n’ai pas pratiqué. Ma prononciation doit être toujours bonne cependant, mais ceux qui parlent espagnol vont toujours parler rapidement si je réponds à n’importe quelle question dans leur langue native. En ce qui concerne mes connaissances du français, tout ce que je peux faire c’est m’excuser pour celui des premiers Anita Blake car mes « experts » en langues n’étaient pas aussi bons en français qu’ils me l’avaient fait comprendre, et par conséquent, certaines phrases sont tout simplement affreuses. Comme mon propre français s’est amélioré, même si je ne sais pas ce qu’une ou deux phrases étaient censées exprimer. *facepalm*(visage exaspéré) Cela m’apprend encore plus qu’en fait aucun des experts, dans aucun domaine, étaient experts. Je prononce toujours très mal le français, si bien que plusieurs français m’ont dit que je pourrais apprendre le français autant que je veux mais que je ne parlerais jamais aussi bien ou musicalement que je le fais en espagnol. En fait, on m’a dit que je parle français comme si l’espagnol était ma langue maternelle. C’était ma seconde langue, mais apparemment il laissé sa marque linguistique.


Question : N’ai-je pas ressenti qu’un Jean-Claude français se rapprochait trop au territoire d’Anne Rice à cause d’Entretien avec un vampire ?
Réponse : Oui, c’est ce que j’ai ressenti, c’est pourquoi je voulais qu’il soit espagnol ; mais plus je le forçais à être d’une nationalité qu’il ne voulait pas, plus il était illusoire sur le papier. Je ne pouvais faire coopérer mon vampire principal tant que je n’allais pas dans son sens en le laissant être français. C’est à ce moment-là seulement, qu’il est apparu vêtu en noir et blanc avec sa chemise à jabot, son pantalon moulant et ses superbes bottes. Je n’ai pas choisi ses vêtements, il l’a fait. Bien que dans un effort de garder ses vêtements dans ses standards j’ai regardé la chaine TV de mode pour la première fois et lu mon premier vogue. Je ris du fait que Jean-Claude m’a appris à marcher en talons hauts ; il m’a aidé à comprendre la magie de voleter en talons. Je n’imagine pas un seul instant devenir aussi élégante que lui, mais écrire et vivre avec lui dans ma tête pour une vingtaine d’années m’a aidé à améliorer ma grâce et mon élégance. Bien que parfois il secoue sa tête après moi, comme il le fait à Anita. Il a été d’une bonne influence sur la garde-robe d’Anita et sur la mienne. Quand nous atterrissons à Saint-Louis, les gens nous demandent si nous appartenons à un groupe ou si nous sommes de New York. On nous demande ça si souvent mais je ne suis pas sure de ce que cela signifie. Je sais que c’est l’influence de Jean-Claude, ou du moins de la mienne qui écrit sur lui, qui change la manière dont je vois la mode.

 



Aperçu dans Dead Ice :
« Peut-être que de nos jours, les gens n’en parlent pas de manière si brutale, mais c’est le vieux jeu du chasseur et de la proie. Il y en a toujours un dans une relation qui commence la chasse au cœur de l’autre, et c’est à la proie de décider si elle veut être facilement attrapée ou s’il elle veut que la chasse soit longue et difficile. » Il souriait en disant cela.
Je lui fis les gros yeux. « N’avez-vous jamais échoué à coucher avec quelqu’un sur qui vous aviez jeté votre dévolu ?
Il releva la forme gracieuse et sombre d’un sourcil. « Vous m’avez mené dans la plus merveilleuse chasse que nul autre, ma petite. »

 

Source : Blog LKH

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