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Après une nuit bien arrosée à Las Vegas pour ses vingt et un ans, Evelyn se réveille avec un terrible mal de tête et un bel inconnu à côté d’elle, sans aucun souvenir de la veille. Lorsqu’elle se rend compte qu’elle a une bague au doigt et le prénom David tatoué sur la fesse, elle ne tarde pas à comprendre qu’ils se sont mariés durant la nuit… Et elle n’est pas au bout de ses surprises en découvrant des hordes de paparazzis devant chez elle : David est en fait le guitariste de Stage Dive. Mais peut-elle vraiment envisager une relation avec une rock star ?

 

 

Avis de Christy :

Dès les premières pages, on fait la connaissance d’Evie le lendemain d’une soirée bien arrosée à Las Vegas.
La jeune femme a une très belle gueule de bois, une alliance au doigt et un tatouage sur les fesses. Elle se réveille dans la salle de bains de David, qui lui annonce qu’ils se sont mariés pendant la nuit.

Passée la stupéfaction de cette annonce dont elle ne se souvient de rien, Evie doit faire face aux hordes de paparazzis qui sont agglutinées devant chez elle. En effet, son tout nouveau mari se révèle être le célèbre guitariste du groupe Stage Dive et qu’elle n’avait pas reconnu!

Pour échapper à cette soudaine notoriété, David, venu à son secours, et Evie se rendent à Monterey, une petite ville de Californie, dans la maison du guitariste, pour attendre les papiers du divorce.

Pendant les quelques jours que les futurs ex-époux passent ensemble, David et Evie vont apprendre à se connaître et à s’apprivoiser.

J’ai eu un coup de coeur pour ce roman, le 1er d’une série, chacun consacré à un membre du groupe Stage Dive.
Dans ce tome-ci, c’est l’histoire de David et Evie qui est mise en avant.

Le roman commence par la fin: le mariage. Tout le long du titre, comme les deux personnages principaux, nous apprenons à les connaître. Nous les côtoyons avec leurs défauts, leurs faiblesses et leurs forces.

On suit avec beaucoup de plaisir toutes leurs péripéties amoureuses. Même si nous avons une petite idée du final, les pages défilent à toute vitesse. On veut savoir comment deux personnes aussi éloignés dans leur mode de vie arriveront à s’aimer, à se comprendre.

On s’attache énormément à David et à Evie. David est LE guitariste du groupe de rock qui a beaucoup de succès. Il est beau, charismatique et prêt à tout pour qu’Evie apprenne à le connaître et surtout qu’elle reste avec lui.

Evie, quant à elle, est une jeune femme un peu perdue. Elle n’a aucun souvenir de la folle nuit qu’elle a passé avec David, ainsi que de son mariage. Elle qui a été blessée précédemment dans sa vie, veut bien donner une seconde chance au couple qu’elle forme avec David. Evie se cherche également dans sa vie professionnelle. Elle a accepté, alors qu’elle n’est pas passionnée par ses études d’architecture de suivre le chemin tracé par ses parents pour elle.

Son mariage avec David va remettre beaucoup de choses en considération.

Les deux personnages vont évoluer tout le long du roman.

Les sentiments qui sont décrits à la perfection vous mettront des étoiles plein les yeux et vont feront croire, à votre tour à l’Amour, le seul et l’unique.

“Rock” est un roman très fort en émotions où deux personnages qui ont un caractère et un mode de vie complètement opposés, vont apprendre à se connaître. Cette relation naissante est très bien décrite, les dialogues relevés et pimentés par quelques scènes où leur passion transparaît à travers les pages.

Un vraiment coup de coeur où l’Amour est au centre de ce magnifique récit.

Editions Hugo Roman

Quand Tate Collins rencontre Miles Archer, elle sait que ce n’est pas le coup de foudre. Et pour cause, le beau pilote n’a de temps que pour les aventures sans lendemain. Ils ne peuvent pourtant pas nier leur attraction mutuelle, aussi immédiate que brûlante.

Alors pourquoi ne pas se laisser séduire, quand le sexe est si bon ? Pas d’attaches, simplement la passion… Leur arrangement semble parfait, tant que Tate accepte de respecter les deux règles de Miles : Pas de question sur le passé, Ne pas espérer de futur.

Cependant, ils vont vite comprendre que le coeur ne suit pas d’autres règles que les siennes. L’amour, même quand il n’est pas une évidence, sera-t-il plus fort que leurs promesses ?

Avis d’Arcantane : J’avais beaucoup apprécié Maybe Someday, encore plus Hopeless. Lorsque Hugo Roman a annoncé la sortie d’Ugly Love, je trépignais d’impatience de découvrir une nouvelle romance de Colleen Hoover. Cette nouvelle histoire ne m’a pas déçue.

Ici, nous découvrons Tate, une jeune femme qui a décidé d’aller vivre quelque temps chez son frère, Corbin, un pilote d’avion. Lorsqu’elle arrive devant la porte de l’appart de son frère, un inconnu est affalé par terre et l’empêche d’accéder à l’appartement. Cet inconnu n’est qu’autre que son nouveau voisin Miles, ami de son frère, lui aussi pilote d’avion. Leur première rencontre n’est pas très sympathique et laisse à la jeune femme un goût amer. D’un premier abord, Miles est distant que rien ne peut atteindre. Son comportement a le don d’énerver Tate qui n’a pas l’habitude de rencontrer ce genre de personne.

Pourtant une forte attirance les attire. Tate et Miles décident de démarrer une liaison secrète avec quelques règles imposées par Miles : ne pas poser de questions sur son passé et pas de sentiment en jeu. Cette liaison ne sera basée que sur le sexe et rien de plus. La jeune femme accepte les conditions de Miles. Débute alors leur légère aventure, pourtant ils vont vite se rendre compte qu’il est difficile de rester dans une relation de sexe entre amis sans que les sentiments ne rentrent en jeu.

J’ai vraiment apprécié cette relation qui évolue au fil des pages. À la base ce n’est que du sexe mais graduellement, Tate tombe amoureuse de Miles. Elle comprend que Miles ne peut l’aimer tant qu’il n’aura pas fait une croix sur son passé. Curieuse de savoir ce qui a pu lui arriver, elle va tout faire pour que leur relation fonctionne. Petit à petit, le masque de Miles s’effondre et son ancienne personnalité refait surface. À travers son roman, l’auteur nous entraine dans le passé de Miles peu à peu dévoilé au fil des chapitres. On navigue entre le présent et son passé pour découvrir ce qu’il l’a fait tellement changer et renoncer à éprouver des sentiments.

Comme à son habitude, le style de Colleen Hoover est bouleversant, sa plume reste fluide tout le long qu’il n’y a aucun temps mort. On s’attache à Tate, son courage de s’accrocher et d’y croire à cette relation. On espère qu’ils vont pouvoir passer outre et s’aimer librement. Tout comme Tate, j’espérai à chaque page, un rebondissement avec Miles qu’il ouvre enfin les yeux et lui avoue ses sentiments.

Ugly Love est une romance intense et émouvante. J’ai vraiment eu du mal à lâcher ce roman, j’étais totalement absorbée jusqu’au dénouement de cette histoire.

En résumé, c’est un roman que je ne peux que vous conseiller si vous aimez les belles histoires d’amour. Ugly Love ne vous laissera pas indifférent(e). Encore une belle réussite pour Colleen Hoover et Merci à Hugo Roman d’avoir publié ce one-shot en français.

Editions Bragelonne

Il y a des zombies qu’on relève. D’autres qu’il faut abattre. Jusqu’à maintenant, j’ai toujours considéré les zombies comme un peu dérangeants, mais pas comme dangereux. Jamais je n’avais entendu dire qu’ils pouvaient provoquer la mort dans d’atroces souffrances. Mais tout vient de changer. Le père de Micah est mourant, atteint d’une maladie étrange que les médecins hésitent encore à appeler « zombification ». Les zombies sont mon gagne-pain, mais ceux-là ne ressemblent à rien de connu. Ils chassent en plein jour et sont aussi forts et rapides que des vampires. S’ils vous mordent, vous devenez comme eux…

Jusqu’où ça ira ? Même moi, je l’ignore.

Avis d’Arcantane : Anita Blake a toujours été ma série préférée mais je dois avouer que depuis quelques tomes déjà, elle avait perdu de ce qui faisait son charme. L’auteur avait tendance à privilégier trop les scènes de sexe au détriment de l’histoire et à bâcler sa fin. À force de vouloir trop en faire, il n’y avait plus d’intérêt et j’arrivais même à me dire : « STP Laurell, arrête le massacre avec Anita et passe à autre chose, à une nouvelle série ! ».

Pourtant lorsque je commence un nouveau tome de cette série, je garde toujours espoir de retrouver l’Anita de ses débuts, une nécromancienne et chasseuse de vampires et d’avoir des intrigues au top. Avec ce nouveau tome, Affliction, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Bien que le résumé et le début du livre soient prometteurs, l’auteure allait-elle continuer sur sa lignée et nous écrire une histoire digne de ses premiers tomes ?
Au final, je dois dire que je n’ai pas été déçue, ce tome 22 remonte largement le niveau de la série (surtout avec les précédents volumes où on avait tendance à partir dans tous les sens !!).

Laurell renoue avec ce qui a fait le succès de sa série. On revient sur une histoire de zombie et une enquête qui donne du fil à retordre à notre héroïne et moins centrée sur la politique vampirique et l’ardeur.

Anita doit accompagner son amant, Micah apprenant que le père de ce dernier est mourant, victime d’une attaque de zombie. Elle découvre sur place que ces zombies ne sont pas des zombies ordinaires et ont tendance à contaminer tous ceux qu’ils attaquent à l’aide d’une simple morsure. Chose qu’elle n’avait encore jamais vue. La voilà donc à enquêter sur ce nouveau phénomène pour essayer de trouver le coupable et l’arrêter.

J’ai vraiment apprécié cette histoire, d’1) on retrouve notre bonne vieille Anita en mode nécromancienne et exécutrice de vampires.
De 2) il n’y a pratiquement pas de politique vampirique, on a le droit à une enquête comme dans ses débuts et une bonne intrigue qui tient le long du Roman.

En plus, la fan (que je suis) était super-contente d’avoir des passages avec Jean-Claude. Youpi ! Et le retour d’Edward ! Ce dernier est vraiment de la partie et va aider Anita dans son enquête. J’étais vraiment heureuse de lire leurs échanges et leurs joutes verbales comme autrefois. Edward is come back !! Hiiiiiiiii !! *en mode happy*
J’ai aussi aimé que l’auteur ne nous bombarde pas trop de scènes de sexe. Il y en a bien sur quelques-unes mais relativement rapide (Seule la dernière que je n’ai pas trop apprécié pour ses pratiques) et la fin n’est pas bâclé en quelques pages !

En résumé, j’ai vraiment pris plaisir à découvrir ce nouveau tome qui m’a donné envie de relire les premiers tomes de cette série. J’espère que Laurell continuera dans cette lancée !

Editions Syros Nathan

Yannis vit à Marseille. Ses parents et sa petite sœur sont morts. Maintenant, il voit leurs fantômes un peu partout– peut-être qu'il devient fou ? Quand il sort de chez lui, terrifié, son chien Happy à ses côtés, il découvre une ville prise d'assaut par les rats et les goélands, et par des jeunes prêts à tuer tous ceux qui ne font pas partie de leur bande. Yannis se cache, réussit à échapper aux patrouilles, à manger... Mais à peine a-t-il retrouvé son meilleur ami que ce dernier se fait tuer sous ses yeux. Il décide alors de fuir Marseille et de s'accrocher à son dernier espoir : un rendez-vous fixé à Paris...

 

 

Avis de Christy :

“U4” est une série de romans qui peuvent se lire dans l’ordre de votre choix.

Juste avant le début du récit, une dizaine de jours avant, on apprend qu’un virus a fait son apparition. Le virus s’est propagé dans toute l’Europe très rapidement.

90% de la population mondiale a été terrassée. Les seuls survivants restant sont les adolescents.

Dans ce roman, on suit Yannis, un jeune adolescent qui vit à Marseille. On apprend que ses parents et sa soeur ont succombé au virus… Le garçon vit reclus, avec son chien Happy dans l’appartement familial. Yannis est un passionné de jeux vidéos, notamment de WOT (Warriors of Time), qu’il jouait en ligne. C’est par ce biais-ci et de son forum de discussion que l’adolescent reçoit début novembre un message provenant d’un autre joueur de WOT, lui donnant rendez-vous à Paris le 24 décembre à minuit, le seul moyen selon lui de trouver un moyen de combattre le virus.

D’abord très apeuré à l’idée de quitter sa famille (elle se trouve encore dans le salon) et l’appartement, Yannis prend la décision de partir et de se rendre à Paris pour le rendez-vous.
Nous découvrons à travers les yeux de l’adolescent ce que devient un monde sans adultes. Les magasins sont pillés, il n’y a plus d’eau courante, ni d’électricité… Le monde est en ruines.

Sur la route, Yannis rencontrera Jules, Stéphane et Koridwen, les autres personnages des autres romans de la série, leur destin étant fortement liés.

Avec ce roman, on assiste à la fin du monde tel que nous pouvons tous le connaître. Les adultes et les enfants en bas âge sont décimés par un mystérieux virus. Seuls les adolescents échappent à ce triste sort. Ils sont les seuls maîtres à bord. La plupart s’organisent en bandes pour survivre et se protéger. Les contacts entre bandes rivales sont bien souvent violentes.

Dans un style très fluide, Florence Hinckel, l’auteur, nous fait partager pendant presque deux mois le quotidien de Yannis, un garçon un peu perdu dans son voyage de Marseille à Paris. Un voyage qui ne sera pas sans danger et qui changera le garçon. Lorsque le jeune garçon ne sait pas, surtout au départ, comment gérer les événements, il cède la place à Adrial, son avatar dans WOT. Yannis, très perturbé par la mort de ses parents se confronte très vite au monde extérieur, vers, il l’espère, une solution pour que le monde retourne à la normale.

Les pages défilent à toute allure car on veut connaître la suite. On s’imagine très bien à la place du personnage. On découvre un monde inconnu, plein de dangers, sans aucun interdit ni limites.
Chaque chapitre (parfois très court) nous indique la date et parfois l’heure de l’action en cours. On sait que les dernières pages seront consacrées au fameux rendez-vous le 24 décembre. Il s’agit d’un compte à rebours qui fait encore plus grimper le suspense. Nous sommes suspendus au sort de Yannis et de ses amis.

L’univers très noir est parfaitement retranscrit par l’auteur, le monde post-apocalypse est crédible, même si d’autres auteurs ont écrits d’autres romans sur le même thème (Young world, Autre Monde…)
La force de ce roman-ci, c’est la vision de quatre personnages complètement différents qui ont un but commun: le rendez-vous à Paris. Les personnages seront bien sûr présents dans les autres romans de la série et c’est ce chassé-croisé qui est complètement original.

En bref, U4 Yannis est un  roman totalement prenant qui nous emmène dans un monde sombre où la survie est le mot d’ordre. Comme moi, vous serez complètement absorbé dans l’intrigue et vous vous attacherez aux personnages, principaux et secondaires.
J’ai hâte de découvrir les trois autres tomes de la série...

Editions Lumen

Imaginez un monde où l'Empire britannique aurait écrasé la rébellion qui a donné naissance aux États-Unis d'Amérique... Dans ce XIXe siècle alternatif, Charlotte, 16 ans, vit loin de ses parents, descendants des révolutionnaires américains, qui continuent la luttent contre les sous-marins et les machines volantes de Britannia. Entourée d'autres fils et filles de la rébellion, elle habite dans un réseau de grottes souterraines non loin de la ville flottante de New York, où les artisans de la Ruche et les ouvriers de la Grande Fonderie côtoient l'aristocratie des vainqueurs. Un matin, elle croise dans la forêt un garçon amnésique, poursuivi par les machines de l'Empire, et lui sauve la vie. Mais quand elle le ramène dans les Catacombes, où elle attend comme tout le petit groupe d'amis qui l'entoure de rejoindre la lutte quand elle atteindra sa majorité, l'équilibre de son existence est bouleversé : parmi ses compagnons, tous ne sont pas ce qu'ils prétendent être, et l'existence de ce mystérieux garçon fait peser sur la rébellion une terrible menace... Des décharges de métal de l'Empire, infestées de rats d'acier, aux salons opulents de la noblesse, en passant par les méandres labyrinthiques de la Guilde des inventeurs, Charlotte est contrainte de quitter son refuge pour partir explorer le vaste monde ! Rébellion est le premier tome du Secret de l'inventeur, la nouvelle trilogie steampunk d'Andrea Cremer, l'auteur du best-seller international Nightshade, plusieurs fois classée dans les listes des meilleures ventes du New York Times. Monstres d'acier, magie vaudou, automates maléfiques et espions de haut vol, elle a su tisser un univers d'une grande richesse où brille une héroïne née pour mener la lutte !

Avis de Solyane :

Premier tome de la série "Le secret de l'Inventeur" d'Andrea Cremer, "Rébellion" est paru en février 2015 aux Editions Lumen. Son univers se situe dans une Amérique steampunk où les colons auraient perdu la guerre d'Indépendance face à l'Angleterre.

La quatrième de couverture vous dévoile le début de l'histoire de cette jeune fille qui va se retrouver prise dans la tourmente de la rébellion et plus encore.

Comme ce garçon amnésique et comme Charlotte plus tard, on va se rendre compte que ce monde n'est pas du tout le monde manichéen qu'elle pensait connaitre mais plutôt un dégradé de gris qui va être influencé par les émotions des personnages, leurs secrets. Les apparences ne sont pas toujours ce qu'elles paraissent être. Comment arriver à faire confiance, si les frontières bougent sans arrêt.

En ce qui concernent les personnages, excepté pour l'instant notre héroïne, aucun ne correspond vraiment à ce que l'on croit ou à ce qu'on pourrait imaginer à partir des informations délayées par l'auteur. La plupart ont des secrets qui vont impactés l'ensemble de ce microcosme. Dès le début, on pourrait croire que l'histoire est connue, tout est déjà figé. Et on se rend compte, au fur et à mesure que l'histoire avance, que ce n'est pas le cas. Certains secrets sont révélés et changent les comportements, d'autres engendrent des nouvelles questions dont émergeront de nouveaux secrets, pour nous égarer encore plus. Finalement, les apparences sont trompeuses et on tourne en rond comme des toupies, dans une danse folle, avec une farandole de questions en tête.

Etant une fan de la série "le protectorat de l'Ombrelle" de Gail Carriger, je me demandai ce que pouvait donner ce roman steampunk jeunesse. Et, là, je me suis laissée emporter par l'histoire, par la vision de cette grande roue (je vous intrigue !!!), de ces personnages qui ont l'air et ne le sont pas tout à la fois, à un attirance stéréotype. De plus, c'est le premier roman d'Andrea Cremer que je lis et je me suis prise au jeu. Rajouté à cette équation la couverture qui est une pure merveille (d'ailleurs, c'est la couverture qui m'a fait acheté le bouquin) et vous passerez un excellent moment. Il y a juste un minuscule problème, un truc qui risque de vous mettre dans tous vos états : lorsque vous arrivez à la fin de ce tome, vous vous arracherez les cheveux car vous ne disposerez peut-être pas du deuxième tome à coté de vous et, ça, c'est vraiment quelque chose d'énervant. Grrrr !!! Je suis passée par là et j'ai hâte d'avoir la suite dans mes mains.