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Films

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Si je reste

Date de sortie : 17 septembre 2014 (1h46min)

Réalisé par R.J. Cutler

Avec Chloë Grace Moretz, Mireille Enos, Joshua Leonard...

Genre : Drame

Nationalité : Américain

 

Synopsis

En un seul moment, tout peut changer. Mia, 17 ans, n'a aucun souvenir de l'accident : elle arrive uniquement à se rappeler avoir roulé le long de la route enneigée de l'Oregon avec sa famille. Puis, en un clin d'œil, elle se retrouve observant son propre corps dévasté ... L'adolescente sera tiraillée entre l'envie de rejoindre ses parents dans l'au-delà et celle de se réveiller et de retrouver son petit ami et ses proches...

 

 

Avis d'Edelweiss

Je finissais le livre le jour-même où j’allais le voir au cinéma, j’étais disons… toute fraîche sur l’histoire et surtout très émue par ce roman bouleversant !

Le voir se réaliser sous mon nez « en film » en identifiant physiquement les personnages avec ma visualisation propre m’a enchanté car l’adaptation cinéma est très proche et très réaliste du livre de Gayle Forman.

La vie peut basculer en une fraction de seconde…

Suite à un accident de voiture Mia, 17 ans, se retrouve confronter à la dure réalité : elle est orpheline, perdant ses parents et son petit frère Teddy dans ce drame.

Son corps dans le coma, va être projeté dans le réel pour voir ce qui l’entoure, lui laissant uniquement 2 choix : Celui de rester parmi les vivants et se battre, se confronter à la souffrance de l’absence des siens ou bien le choix de partir, rejoindre ceux qu’elle a aimés dans une autre vie.

Des flashbacks nous racontent la vie qu’à mener la jeune Mia jusqu’au jour fatidique.

La jeune Cholë Moretz exécute avec brio le rôle de Mia. J’ai été touché très particulièrement par la touche musicale du film, la bande originale est magnifique et le contraste du groupe de rock d’Adam joué par Jamie Backley, avec sa force et sa vitalité d’interprétation puis la souplesse et la finesse du violoncelle accordent à ce film, une singularité presque étonnante tant brillante qu’admirable et beau à voir comme à entendre.

Adam et Mia se sont rencontrés grâce à la musique, un mélange de classique et de rock, deux personnalités bien distinctes mais un seul et pur amour partagé pour leur musique atypique mais également envers l’un pour l’autre. Ils s’aiment tout simplement. Un premier amour pour une adolescente en proie au désarroi car même si la musique fait ce qu’ils sont tous les deux, doit-elle passer avant l’amour qu’ils se portent ou bien la sacrifier pour rester auprès de l’autre dans l’avenir ?

« Le courage ce n’est pas vivre sans peur. Le courage c’est d’avoir la peur de sa vie ». (Chae Richardson)

Pour Mia, avoir le courage c’est prendre sa décision, la provoquer et affronter ce qui va en résulter.

Quant à Adam, être courageux c’est offrir sa présence au jour le jour, si elle reste, mais aussi avoir le courage en tout connaissance de cause de la laisser partir si elle le désire.

 

Citation du livre : « Aujourd’hui, je le crains, aucun baiser magique au monde n’aurait pu quelque chose pour lui. Pourtant, je sacrifierais n’importe quoi pour avoir été en mesure de lui en donner un. »

Un film dramatique certes, mais attendrissant, romantique avec sa petite dose d’hilarité (merci les parents de Mia !) qui vaut le coup d’œil !  

 

 

 

 

Vampire academy - Critique du film

    Vampire Academy - le film

 Vampire Academy est tiré d'une série de roman en 6 tomes de Richelle Mead.

C' est avant tout une histoire d'amitié entre Lissa, qui est une vampire Moroï et sa protectrice Rose qui est mi-humaine mi-vampire, une Dhampir. Elles vont toutes deux à la St Vladimir Academy où Rose et d'autres Dhampirs apprennent à devenir des gardiens pour protéger les moroïs des mauvais vampires, les Strigois.

J'ai lu les livres il y a environ 1 an et autant vous dire que je mourrais d'impatience de voir le film. J'ai donc filé au cinéma hier, dès le premier jour de sa sortie. Personnellement j'ai beaucoup aimé le film et j'ai passé un très bon moment, mais je retiens tout de même des défauts au film. Le premier c'est sa rapidité, il y a beaucoup de détails dans le film (ce qui est bien) mais à cause de sa rapidité (seulement 1H45) seuls ceux qui ont lu les livres pourrons comprendre tous les éléments. De plus cette rapidité nous empêche de bien profiter de l'univers et des décors et empêche ceux qui n'ont pas lu les livres d'assimiler toute l'histoire et la mythologie vampirique de Richelle Mead. Le deuxième défaut c'est la mise en scène qui aurait du parfois être un peu plus dramatique afin de montrer qu'il y a de la profondeur dans l'histoire et dans les personnages. Et j'aurais aimé des scènes d'action un peu plus punchy qui auraient fait du bien au film.
Mais surtout si vous avez l'occasion de le voir en VO sautez dessus, la VF est atroce, tant au niveau des voix que de la traduction.

Malgré cela, j'ai passé un très bon moment, on a pas le temps de s'ennuyer et je trouve que les acteurs ont été très bien choisis, je ne me souviens même plus comment j'imaginais Rose et Dimitri avant! Et les décors sont également très fidèles, ils nous plongent vraiment dans l'univers du livre.
Zoey Deutch est vraiment parfaite dans le rôle de Rose, non seulement physiquement mais également dans son jeu d'actrice, elle est très tête brulée et sarcastique, elle apporte vraiment un touche d'originalité au milieu de tous ces vampires qui se prennent au sérieux. L'actrice est très mignonne et rafraichissante, ça fait de bien de voir une heroine souriante et sûre d'elle.


De plus, je trouve que les idées principales du livre reflétent très bien, nottament l'évolution du comportement de Rose, dans le film on comprend bien qu'elle grandit et commence à sortir de l'adolescence en réalisant les responsabilités qu'une gardienne doit avoir.
Je pense donc qu'au fond ce film (et les livres) est un bon modèle pour les jeunes filles, il montre qu'une fille peut aussi être forte, s'assumer, prendre des décisions et se débrouiller seule. Pour une fois il n'y a pas que les hommes qui savent se battre et donner des raclés, et cela ne nous empêche pas d'admirer le dieu Dimitri en action!

C'est un film qui ne se prend pas au sérieux, et chaque passage qui aurait pu être génant de niaiserie est sauvé par l'humour, (Dimitri: "je vais brûler ta robe").
Malheureusement ce film sort peut être au mauvais moment, où le public commence à se lasser de toutes les adaptations de livres pour adolescents et surtout de films de vampires. C'est dommage car j'ai l'impression que ce film n'a pas eu de vraie chance, et il faut avouer que la campagne publiciaire rose fluo ne donnait pas vraiment envie de voir le film.

Au final j'ai vraiment bien aimé le film, et j'ai hâte de le revoir mais en Version Originale. Le voir deux fois c'est vraiment le minimum pour bien faire attention à tous les détails. Malgré le peu d'argent que le film a rapporté j'espère (bêtement peut-être) qu'ils en feront un deuxième. Après tout, dans les 6 tomes le premier est celui que j'ai le moins aimé. Le deuxième étant plus dramatique et avec plus d'action il sera beaucoup plus interresant à voir que le premier qui sert plutôt à placer les élements de l'intrigue et à nous présenter les personnages.

Donc surtout si vous avez le temps filez le voir au cinéma, allez-y sans préjugés, et vous passerez un bon moment de divertissement. J'y suis allée avec deux amies qui ne connaissaient pas du tout, à la sortie elles ont filé à la librairie pour acheter les livres.

Et puis, les scènes entre Dimitri et Rosa sont tellement sympathiques!

Je suis tombée sous le charme de Danila kozlovsky!

Si vous voulez voir une bande annonce qui donne envie c'est ici.

 

~Eldi~

Love Next Door

A l’occasion de la sortie de Love Next Door, le 05 juin en DVD & VOD, la SND organisait une projection spéciale blogueurs qui s'est déroulée hier soir.

 

 

Synopsis : De retour chez ses parents après cinq ans d'absence, Nina tombe amoureuse de leur meilleur ami, David. Leur relation va bouleverser la vie de chacun.

Une comédie fraîche dotée d’un casting riche et éclectique. L’occasion de découvrir une autre facette du jeu d’Hugh Laurie (Dr House) et Leighton Meester (Gossip Girl), mais aussi de très bons seconds rôles tels que Catherine Keener, Oliver Platt et Allison Janney.

Une comédie indépendante signé Julian Farino, dans l’esprit de « SIDEWAYS » et présenté au Festival International de Toronto 2011.

 

Avis d'Arcantane : Love next door est une comédie racontant le chamboulement de la vie de 2 familles les Walling et les Ostroff. Vivant dans une banlieue chic du New Jersey, la famille Walling mène une petite vie tranquille en compagnie de leurs voisins et meilleurs amis : les Ostroff. Leur train-train quotidien va être bouleversé par le retour de Nina (Leighton Meester), la fille des Ostroff absente depuis 5 ans. A la suite d'un rupture avec son fiancé, la jolie jeune fille revient auprès de ses parents et va semer la pagaille entre les 2 familles en tombant amoureuse du père de son amie d’enfance, le gentil David Walling (Hugh Laurie). Ce qui ne va pas être au goût de ses parents et de son ancienne amie…

C’est un plaisir de retrouver Hugh Laurie dans un rôle autre que le Dr House, il est vrai que je m’attendais à voir surgir House avec son cynisme habituel à certains passages mais Hugh Laurie a su s’approprier son personnage de père de famille touchant  qui essaye de concilier son amourette avec une jeune fille (qui a l’âge de sa fille rappelons-le) et les réactions de ses propres enfants en particulier Vanessa, sa fille qui vit à la maison avec lui. Quant à Leighton Meester (plus connue comme Miss Gossip Girl), elle apporte sa touche de fraicheur dans le rôle de Nina, jeune fille rebelle et fêtarde. Contente aussi de retrouver en second rôle, Oliver Platt incarnant le père de Nina et toujours aussi drôle. Papa gâteau et fan de gadgets, il est totalement décalé ce qui amène à certaines scènes amusantes.

L’histoire est banale mais Love next door met en avant les relations humaines que l’on découvre fragiles entre 2 familles pourtant unis. Leurs train-trains quotidiens les ont amenés à une vie ordinaire dépourvue d’originalité. Leurs vies sont tellement programmées qu’il suffit d’un seul élément perturbateur pour l’exploser et tout cela s’enchaîne comme les dominos. Ils vont se rendre compte que finalement en changeant leur quotidien ils deviennent plus heureux et vont  réapprendre à vivre et à savourer leur propre vie et non l’image qu'il souhaitent donner pour faire bonne impression.

Quelques scènes et répliques sont assez drôles si vous êtes bon public comme moi, vous rentrerez dans l’histoire facilement. Cependant la relation entre les 2 personnages peut géner le spectateur : la différence d'âge assez flagrante (un homme d'un ciquantaine d'année avec une jeune fille d'une vingtaine qui pourrait être sa propre fille !).

Le spectateur se doutera bien de la fin car il n’y a rien de bien original. Mais cela passe, dans l'ensemble le film reste divertissant malgré le peu d'action.

Au final Love next door reste un joli film touchant à voir en famille ou entre amis. Mais attention pour public averti car il ne plaira pas forcément à tout le monde.

 

 

 

On y était : Projection du film Dagmar - l'Ame des Vikings

A l’occasion de la sortie de DAGMAR, l’âme des vikings le 15 mai en DVD, BLU-RAY & VOD, la SND organisait une projection spéciale blogueurs qui s'est déroulée hier soir.

Pour information, le film était présenté hors compétition au Festival de Gérardmer 2013.

 

 

Après COLD PREY, ROAR UTHUANG réalise un survival movie !

Une véritable chasse à l’homme vous attend à travers des paysages naturels stupéfiants !

L’histoire : Après l’épidémie de Peste Noire qui a ravagé le pays, une famille pauvre cherche un endroit où s’établir. Sur le chemin, elle se fait attaquer par une bande de tueurs sans merci. La seule survivante est Signe, une jeune fille de 19 ans gardée en otage. Elle apprend à ses dépens qu’il y a pire que la mort et que son salut ne peut venir que de la fuite. La chasse est ouverte…

 

Avis d’Arcantane : Dagmar - l’âme des vikings (de son vrai nom Flukt qui signifie « évasion ») est un film Norvégien se déroulant au 14ème siècle où seuls les plus forts survivent. Lors d’une attaque par des brigands, Signe est la seule survivante de sa famille. Prise en otage, elle est obligée de suivre la Bande de Dagmar, la redoutable chef du groupe. Avec  l’aide de Frigg, la fille de Dragmar, Signe arrive à s’enfuir  avec la jeune fille. Débute alors une traque dont le seul but est de retrouver Frigg et tuer Signe…

L’histoire est centrée sur la fuite des 2 jeunes filles et leur survie dans un milieu hostile poursuivies par des brigands. Malgré, le peu de dialogue, le film est haletant  et rythmé. Certaines scènes sont violentes et réalistes, rappelons que l’époque est barbare où les plus forts règnent et la violence omniprésente. En dépit d’une histoire simple et déjà vu, le réalisateur Roar Uthaug mène bien sa barque et le spectateur ne s’ennuiera pas durant les 1h15 du film.

En résumé, Dagmar - l’âme des vikings n’est peut-être pas le film de l’année mais il reste un film à voir et on y passe un bon moment. Cependant ne vous attendez pas à du grand spectacle sinon vous risquez d’être déçu.

A découvrir.

 

 

INTERVIEW DU RÉALISATEUR ROAR UTHAUG

Qu’est‐ce qui vous attire dans les films de genre?

J’adore travailler sur des films de genre. J’aime l’idée qu’il existe un contrat implicite avec les spectateurs, une liste de règles auxquelles on doit se plier, avec la possibilité dans ce cadre imposé de faire preuve d’une grande liberté. Étant moi-même un consommateur assidu de films de genre, j’ai une tendresse et une empathie naturelle envers les spectateurs.

Vous êtes‐vous inspiré du folklore norvégien pour votre scenario?

Le personnage de Frigg est librement adapté du conte de Jostedalsrypa, le récit d’une jeune fille, seule survivante d’une communauté réduite à néant durant la Peste Noire.

La Peste noire a inspiré de nombreux réalisateurs. En quoi votre approche se distingue‐t‐elle de ces projets ?

J’ai évité de regardé les films qui traitaient de cette période pour garder ma fraicheur intacte; il m’est difficile de dire ce en quoi mon films diffère des précédents. La Peste Noire n’est qu’un prétexte à l’histoire que nous racontons, elle sert d’encrage au scénario qui rapidement s’en affranchit.

Le film reprend par moment les codes des films de western et de samouraï ?

Je n’ai puisé dans aucun film spécifiquement, mais plutôt dans les codes de leurs genres. En plus de ces sources d’inspiration, je me suis également nourri de plusieurs films se déroulant dans un univers post apocalyptique. La moitié de la population de la Norvège ayant péri lors de la Peste Noire, cet épisode est ce qui s’apparente le plus à une apocalypse pour notre pays.

Vous avez déjà travaillé avec Ingrid Bolsø Berdal. Qu’est‐ce qui vous a convaincu de retravailler avec elle sur ce projet ?

J’ai adoré travailler avec Ingrid sur Cold Prey. Elle s’implique totalement dans son travail et amène une intensité dans ses personnages que j’admire. Elle me pousse continuellement dans mes retranchements, me forçant à livrer le meilleur de moi‐même. Lorsque nous avons écrit le rôle de Dagmar, il n’y avait donc aucun doute sur l’actrice qui devait l’incarner. Je pense qu’Ingrid amène une réelle profondeur et offre de multiples facettes à son personnage, proposant un méchant original et qui devrait marquer les mémoires.

Combien de jours le tournage a‐t‐il duré ? Quelle a été la durée de la post production ?

Nous avons tourné le film en 28 jours dans les montages de l’Ouest de la Norvège. Nous avons tourné en Septembre 2011 et le film a été exploité en salles en Norvège en Octobre 2012.

Le film a été sélectionné pour le 20ème Festival de Gérardmer. Comment avez‐vous accueilli la nouvelle ?

J’ai été ravi ! Je suis toujours heureux que mes films soient projetés dans des festivals. L’avant-première mondiale a été organisée à Vienne lors du Slash Film Festival, pour le plus grand plaisir des acteurs et de moi-même. Je suis donc particulièrement curieux de voir comment le public du festival réagira à la projection.

Quels sont vos futurs projets ?

Nous avons juste bouclé le financement de notre prochain film, le premier film catastrophe norvégien. Nous sommes donc en train de peaufiner le script et avons entamé l’étape de pré‐production en vue d’une sortie pour l’hiver 2014/ 2015.

 

Merci à la SND (Marie) pour nous avoir invité à cette projection.

 

Sublimes Créatures

 

Synopsis: Ethan Wate, un jeune lycéen, mène une existence ennuyeuse dans une petite ville du sud des Etats-Unis. Mais des phénomènes inexplicables se produisent, coïncidant avec l’arrivée d’une nouvelle élève : Léna Duchannes.
Malgré la suspicion et l’antipathie du reste de la ville envers Léna, Ethan est intrigué par cette mystérieuse jeune fille et se rapproche d’elle.
Il découvre que Lena est une enchanteresse, un être doué de pouvoirs surnaturels et dont la famille cache un terrible secret.
Malgré l’attirance qu’ils éprouvent l’un pour l’autre, ils vont devoir faire face à une grande épreuve : comme tous ceux de sa famille, Lena saura à ses seize ans si elle est vouée aux forces bénéfiques de la lumière, ou à la puissance maléfique des ténèbres…

 

Sublimes créatures

Tout d'abord je souhaiterais remercier Place To Be qui m'a permis de gagner une invitation pour l'avant-première du film. Merci à toute l'équipe pour tout leur travail que cela soit en chroniques mais aussi dans l'organisation de concours réguliers...

****

La projection presse s’est déroulée vendredi après-midi dernier, j’ai pu enfin rencontrer Cécilia de PTB et revu Valérie du site d’Onirik que je connaissais déjà.

Avis d'Arcantane : Je venais de finir le livre 16 lunes le matin même donc l’histoire était toute fraîche dans ma tête. Il est vrai que je n’avais pas été emballée par ce premier tome. Toutefois, j’étais vraiment curieuse de savoir ce que le film allait donner, allait-il être une adaptation fidèle du livre ou remodelé à la sauce des scénaristes ? Il arrive que certains films soient mieux que le livre de base. Sublimes créatures fait-il partie de cette catégorie ? Telle est l’éternelle question ! C’est un veritable phénomène de mode de vouloir adapter les livres à succès en film depuis quelques années (Harry Potter, LOTR, Twilight, The Host, Vampire Acadmy…). Ça passe ou ça casse !

Donc pour revenir au film, je suis assez mitigée à la sortie du film, je n’ai pas non plus détesté, cela serait mentir mais il y a beaucoup de parties du livre qui ont été coupées ce qui m’a un peu fustrée. Certains personnages secondaires n’apparaissent pas et la chronologie change un peu. Bon après il est normal de ne pas respecter au mot pour mot le livre, sinon il faudra 10h de film pour tout retranscrire ! Mais dans l’ensemble, on retrouve l’ambiance de 16 lunes : une histoire entre 2 jeunes gens que tout oppose mais qui s’accrochent l’un à l’autre alors qu’il se retrouvent pris au milieu d’un veritable guerre entre Enchanteurs de la lumière et des ténèbres. 

Il y a une bonne achilmie entre les 2 acteurs quasi inconnus au cinéma même si j’ai beaucoup plus apprécié le jeu d’Alden Ehrenreich alias Ethan Wate. Alice Englert (Lena Duchannes) est plus reservée.

Mon coup de coeur reste pour le jeu d’acteur de Jeremy Irons, il est parfait dans le rôle de l’oncle Macon et son duel contre Emma Thompson alias Mme Lincoln/Sarafine met du piquant dans l’histoire. On a le droit à quelques moments d'humour.

Les effets spéciaux sont bien intégrés et j’ai beaucop aimé la scène du repas dans le manoir. Chose étonnante c’est que je n’ai pas vu les 1h58 mins du film malgré tout !

Reste à savoir si les fans de la série vont aimer cette adaptation du célèbre tome 16 lunes de Kami Garcia et Margaret Stohl.

 
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